Entends-tu, cœur étrange…
Tous ces maux que l’on donne Au monde qui titube Sont des airs que chantonnent Les lugubres succubes Disent-ils l’insolence De nos craintes puériles Clament-ils l’impatience De nos désirs fébriles Je cherche une lumière Quelque rêve synchrone Sur les rives d’hier Où frémissent les aulnes Où puiser ce silence Qui contient l’infini Et l’auguste innocence…