Au journal de vingt heures
As-tu vu sur son corps les coulisses du temps S’ouvrir puis se fermer comme des alvéoles Pour répandre à leur guise en entrouvant la fiole Le poison qui pourrit les entrailles des gens ?
As-tu vu sur son corps les coulisses du temps S’ouvrir puis se fermer comme des alvéoles Pour répandre à leur guise en entrouvant la fiole Le poison qui pourrit les entrailles des gens ?
Je voudrais vous donner un rêve inachevé Choyez-le, bercez-le, qu’il soit fluorescent Quand je viendrai plus tard heurter mes insomnies Sur les appels fuyants d’une mer indomptée
En plein boom depuis 2002, les marques se démarquent avec le marketing sensoriel. Pour mieux nous travailler au corps ! Plus d’infos sur :https://www.mokle.net/ À découvrir aussi, pour les amateurs, les derniers textes en ligne. Bonne lecture !
J’étais un océan qui balbutiait des mots J’étais une syllabe que répétait l’écho Vide d’immensité, une poussière d’étoile
À ces mots qui reviennent s’abreuver dans nos verres D’alcool qui enlèvent au mystère son voile Muses psychédéliques accrochées à la brume Enrobent des îles de vapeurs d’agrumes Des voix s’égarent là et en toute paresse Soulignent l’horizon qui guette leur ivresse
La marque se construit de plus en plus autour des cinq sens des consommateurs. Cette approche sensorielle capitalise sur la relation physique entre la cible et les produits. Il ne s’agit pas uniquement de répandre devant une vitrine et à l’entrée d’une boulangerie pâtisserie des arômes qui sentent bon le croissant chaud ou le pain…