Peut-on être une grande marque si on n’a pas de bon produit ? Non, évidemment. Mais, la qualité ne suffit pas ! Avec la mondialisation et l’explosion de l’offre, les enteprises ont dû explorer de nouvelles approches marketing pour demeurer visibles. Ces dernières années, elles ont beaucoup misé sur la différenciation. Le marketing a adapté son discours aux nouvelles tendances naissantes. Il a assimilé, également, les revendications écologiques et les exigences environnementales. On connaît les dérives du marketing du green et de l’écoblanchiment façon responsabilité sociétale des entreprises (RSE).
Nouvelle tendance : le contributing
Aujourd’hui, la nouvelle génération consumériste semble plus engagée. Elle réclame aux entreprises du sens, des actes concrets plutôt que de belles promesses et de discours creux. Certaines organisations s’ouvrent ainsi au contributing. Elles ne doivent plus seulement proposer des biens et services de qualité. Elles doivent aussi s’engager à résoudre les maux de la société : réduire leur impact carbone, la pollution, la famine dans le monde…
N’est-ce pas plutôt une nouvelle brèche ouverte par le Marketing pour permettre à l’entreprise d’assurer sa survie dans la jungle consumériste du XXIe siècle ? Sans engagement sincère, elle risque d’avoir du mal à perdurer. La problématique à laquelle elle est, d’ores et déjà, confrontée constitue un véritable enjeu : faire la preuve de son utilité sociale et de sa faculté à apporter une contribution positive au monde.