Saurez-vous les saisons
Que l’ivresse flouait
Lorsque la nuit sombrait
Jusqu’à perdre raison
Et si vos lunes noires
Pouvaient dire mes deuils
Que le silence effeuille
Lorsque tombe le soir
Je fuirais les chagrins
Et leurs mornes prairies
Pour les plaines fleuries
De vos matins sereins