Tu es le vent léger assoiffé de voyages
Tu es de mille ciels, de tous les paysages
Je suis l’aube immobile, aride et solitaire
Je suis l’île lointaine où s’exile l’éther

Et quand nos cœurs en vrac immolent leurs guenilles
À chaque seconde, l’éternité vacille

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2 commentaires

  1. Happée au bord du vertige de la pure poésie !
    Ah ! lorsque les mots se font frémissement délicat, étoiles filantes, signes d’abondance…que te dire de plus !
    S U B L I M E
    Poétiquement vôtre, Monsieur Jef !
    Christine

  2. Ravi de te lire encore Christine ! Il faut espérer que l’inspiration ne vacille pas, ce qui semble le cas ces temps-ci…
    Merci de ta visite que j’apprécie !

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