…Blotti contre ton corps je me trouvais boîteux
Courant après le temps sans pouvoir rattraper
Ce dernier petit »tic » qui fait que demain naît…
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Le rêve de Sinbad
Je voudrais vous donner un rêve inachevé Choyez-le, bercez-le, qu’il soit fluorescent Quand je viendrai plus tard heurter mes insomnies Sur les appels fuyants d’une mer indomptée
L’indicible lueur
Je porte des secrets qui ne sont pas les miens D’étranges vérités dont je n’ai pas la clé J’ai si souvent cherché le cycle circadien Qui donne à tout sommeil l’éclat d’une envolée Je fuis ces nuits d’hiver aux lunes vaporeuses Leur céleste langueur ont des siècles durant Consumé les ardeurs des amours sulfureuses Et…
À chaque seconde l’éternité vacille
Tu es le vent léger assoiffé de voyages Tu es de mille ciels, de tous les paysages Je suis l’aube immobile, aride et solitaire Je suis l’île lointaine où s’exile l’éther Et quand nos cœurs en vrac immolent leurs guenilles À chaque seconde, l’éternité vacille
Tableau
La feuille se déchire en mille confettis Se pose en petits tas sur une table sale Les mots ombrés et noirs n’ont pas su donner vie A la femme qui danse sur un bris de cristal La pièce est éclairée d’une faible lumière Qui laisse sur les murs le vert des moisissures Le soir est…
Quand tu dors
Quand tu dors contre moi ton corps en cuiller Enveloppe mon âme de délicieux mystères Ils révèlent à mes sens de nouveaux univers Que ton souffle suggère au fur et à mesure
Sur les traces d’Icare
J’ai voulu m’évader et cueillir le soleil Atteindre les sommets des monts et merveilles Mes ailes m’ont lâché, fendant le paroxysme Me laissant retomber dans mes boueuses grolles J’ai erré des années, exilé, condamné J’ai fait tant de détours pour pouvoir retrouver La ligne d’horizon de mes livides amours Echoué sur le radeau des sottes…
Le rêve de Sinbad
Je voudrais vous donner un rêve inachevé Choyez-le, bercez-le, qu’il soit fluorescent Quand je viendrai plus tard heurter mes insomnies Sur les appels fuyants d’une mer indomptée
L’indicible lueur
Je porte des secrets qui ne sont pas les miens D’étranges vérités dont je n’ai pas la clé J’ai si souvent cherché le cycle circadien Qui donne à tout sommeil l’éclat d’une envolée Je fuis ces nuits d’hiver aux lunes vaporeuses Leur céleste langueur ont des siècles durant Consumé les ardeurs des amours sulfureuses Et…
À chaque seconde l’éternité vacille
Tu es le vent léger assoiffé de voyages Tu es de mille ciels, de tous les paysages Je suis l’aube immobile, aride et solitaire Je suis l’île lointaine où s’exile l’éther Et quand nos cœurs en vrac immolent leurs guenilles À chaque seconde, l’éternité vacille
Tableau
La feuille se déchire en mille confettis Se pose en petits tas sur une table sale Les mots ombrés et noirs n’ont pas su donner vie A la femme qui danse sur un bris de cristal La pièce est éclairée d’une faible lumière Qui laisse sur les murs le vert des moisissures Le soir est…
Quand tu dors
Quand tu dors contre moi ton corps en cuiller Enveloppe mon âme de délicieux mystères Ils révèlent à mes sens de nouveaux univers Que ton souffle suggère au fur et à mesure
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J’ai voulu m’évader et cueillir le soleil Atteindre les sommets des monts et merveilles Mes ailes m’ont lâché, fendant le paroxysme Me laissant retomber dans mes boueuses grolles J’ai erré des années, exilé, condamné J’ai fait tant de détours pour pouvoir retrouver La ligne d’horizon de mes livides amours Echoué sur le radeau des sottes…
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À chaque seconde l’éternité vacille
Tu es le vent léger assoiffé de voyages Tu es de mille ciels, de tous les paysages Je suis l’aube immobile, aride et solitaire Je suis l’île lointaine où s’exile l’éther Et quand nos cœurs en vrac immolent leurs guenilles À chaque seconde, l’éternité vacille
Tableau
La feuille se déchire en mille confettis Se pose en petits tas sur une table sale Les mots ombrés et noirs n’ont pas su donner vie A la femme qui danse sur un bris de cristal La pièce est éclairée d’une faible lumière Qui laisse sur les murs le vert des moisissures Le soir est…
Quand tu dors
Quand tu dors contre moi ton corps en cuiller Enveloppe mon âme de délicieux mystères Ils révèlent à mes sens de nouveaux univers Que ton souffle suggère au fur et à mesure
Sur les traces d’Icare
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